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291 résultats correspondent à Air ambiant
Mardi 17 avril 2018
Rapport
Gestion des épisodes de pollution de l'air ambiant
  Référentiel technique national Ce guide fait partie du référentiel technique national, conformément à l'arrêté du 21 avril 2021 relatif au dispositif national de surveillance de la qualité de l'air ambiant.   Mise en application : 11 avril 2018     Le guide a été élaboré par le Bureau de la Qualité de l'Air du ministère  chargé de l'écologie en lien avec les DREAL/DEAL/DRIEE. Il se substitue aux instructions de 2014 et 2017 qui seront prochainement abrogées et comporte des éléments complémentaires sur, notamment, les prévisions, les mesures d’urgence ainsi que les contrôles et sanctions pour non respect des mesures d’urgence. Ce guide comporte en page 22 (annexe III) un modèle de fiche à remplir par les exploitants d'ICPE sur les mesures mises en œuvre en cas de pics de pollution. Cette fiche (ou une équivalente) doit être pré-remplie à froid, remplie et transmise une première fois à la DREAL/DEAL/DRIEE après le déclenchement d'une procédure d'alerte puis à la fin de l'épisode pour évaluer les quantités de polluants évités. Ce guide complète l’arrêté interministériel du 7 avril 2016 relatif au déclenchement des procédures préfectorales en cas d’épisodes de pollution de l’air ambiant, modifié par l’arrêté du 26 août 2016 qui a réformé le dispositif de gestion des pics de pollution atmosphérique. Il prend en compte l’instruction du Gouvernement du 5 janvier 2017 relative à la gestion des épisodes de pollution de l’air ambiant qui a ajusté certains éléments de l’instruction technique du 24 septembre 2014 relative au déclenchement des procédures préfectorales en cas d’épisodes de pollution de l’air ambiant.
Jeudi 5 juillet 2012
Rapport
guide Surveillance des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) dans l’air ambiant et dans les dépôts (OBSOLÈTE)
  ATTENTION - Ce guide est obsolète - une mise à jour est disponible dans l'espace documentaire (rubrique "guides méthodologiques)   Ce rapport est une mise à jour du dernier rapport des recommandations pour le prélèvement et l’analyse des HAP dans l’air ambiant rédigé en Avril 2008 (Leoz-Garziandia, E., 2008). Il s’articule de la façon suivante :  Un chapitre sur le prélèvement et l’analyse du benzo[a]pyrène (B[a]P) et des autres HAP dans l’air ambiant : Les mises à jour concernent : - des recommandations sur l’étalonnage de l’appareil (section 2.3.1.1) ; - la non recommandation de l’utilisation de « dénuder » ozone (section 2.3.3.2) ; - des recommandations sur la fréquence d’échantillonnage (section 2.3.5.3) ; - des recommandations sur le stockage des supports après prélèvements (section 2.3.5.5) dont une étude approfondie est prévue pour 2012 ; - des recommandations sur l’expression des résultats (calcul du volume « réel » prélevé) (section 2.5.2) ; - des recommandations sur l’estimation des incertitudes qui fait référence au guide d’estimation des incertitudes sur les mesurages des B[a]P réalisés sur site dans la fraction PM10 publié par le LCSQA en 2010 (2.6) ; - les résultats des exercices de comparaisons inter-laboratoires organisés par le LCSQA (section 2.7).  Un chapitre concernant le prélèvement et l’analyse autour des sources ponctuelles : Le traitement de cette problématique par la IVème directive fille (2004/107/CE) ne nous paraissant pas très clair, nous travaillerons au sein de la CS « Benzène - HAP- Métaux » afin de proposer la meilleure méthode possible pour appréhender ce type de sources pour la surveillance des HAP. Un chapitre concernant le prélèvement et l’analyse des HAP dans les dépôts : Ce chapitre est totalement mis à jour car la norme concernant la mesure des HAP dans les dépôts atmosphériques vient de paraître (NF EN 15980, Juillet 2011) (chapitre 3).  Un chapitre concernant la modélisation : Les textes réglementaires européens introduisent la prise en compte de la modélisation et de l’analyse objective de manière conditionnelle, afin de produire un niveau d’information sur la qualité de l’air, complémentaire aux mesures. En ce qui concerne le B[a]P et les autres HAP, compte tenu du peu de données existantes (aussi bien sur les concentrations atmosphériques que sur les dépôts), des lacunes en termes d’inventaire d’émission et des processus de transformation des composés (réactivité dans l’air, dépôt, échange avec la biosphère, partition gaz/particules, etc…), on peut dire que l’utilisation de ces modèles pour répondre aux exigences de la directive européenne est prématurée et nécessite d’être validée.
Samedi 24 octobre 2020
Episode de pollution
Episode du 24/10/2020 - PM10 - GUADELOUPE - Information & Recommandation
Vendredi 11 avril 2014
Page de livre
Référentiel pour la surveillance de la qualité de l'air en France
référentiel technique national  
Jeudi 12 mai 2016
Rapport
Pesticides dans l’air ambiant : intercomparaison analytique
Le prélèvement et l’analyse de substances phytosanitaires dans le milieu atmosphérique font l’objet de sous-traitance analytique des échantillons recueillis à des laboratoires d’analyse indépendants respectant les modalités décrites dans la norme NF X 43 059. Etant donné la diversité et l’évolution constante des substances recherchées, un essai d’intercomparaison analytique a été organisé par le LCSQA/INERIS. Cette intercomparaison fait partie des actions soutenues par Ecophyto. Son financement a été assuré par le MEEM (programme LCSQA) et l’ONEMA (plan Ecophyto). Sept laboratoires ont répondu favorablement à l’appel à participation. Les 27 substances à analyser ont été sélectionnées à partir du croisement de la liste socle d’Ecophyto et des substances recherchées actuellement par une majorité d’AASQA. Les matériaux d’essai destinés aux laboratoires ont été conditionnés et dopés par l’INERIS. Ils comprenaient 3 matrices : ¨       Matrice PUF propre ¨       Matrice PUF chargé en polluants atmosphériques ¨       Matrice PUF/résine XAD2 propre. Ainsi que les séries suivantes : ¨       Série C0 : blancs. ¨       Série C1 : dopage de l’ensemble des substances sur mousses propres à une concentration basse (inférieure au µg/substance en moyenne). ¨       Série C2 : dopage de l’ensemble des substances sur mousses contaminées à une concentration haute (de l’ordre du µg/substance en moyenne). ¨       Série C3 : dopage de la moitié des substances sur mousses propres à une concentration basse (inférieure au µg/substance en moyenne). ¨       Série C4 : dopage de la moitié des substances sur mousses contaminées à une concentration haute (de l’ordre du µg/substance en moyenne). ¨       Série C5 : dopage de l’ensemble des substances sur résine XAD2 à une concentration haute (de l’ordre du µg/substance en moyenne et du mg pour le folpel). Cet exercice a permis de mettre en évidence l’état de l’art au niveau du traitement analytique des échantillons de pesticides dans l’air ambiant. Il repose sur un faible nombre de participants mais qui disposent tous d’équipements analytiques similaires. La forte disparité observée dans les résultats nous interpelle dans la mesure où elle conduit à un risque élevé d’ « effet laboratoire » ou de distorsion lors de la communication des résultats selon le laboratoire en charge des échantillons. On notera toutefois que quelques laboratoires se détachent des autres par leurs meilleurs résultats. Il appartient donc aux autres laboratoires de tirer les enseignements de cet exercice et d ‘améliorer leurs pratiques.
Jeudi 3 septembre 2020
Episode de pollution
Episode du 03/09/2020 - PM10 - GUADELOUPE - Information & Recommandation
Vendredi 20 septembre 2019
Rapport
Rapport d'activité LCSQA 2018
Après une première partie retraçant les faits marquants de l'année 2018, le rapport d'activité présente l'ensemble des démarches mises en oeuvre et les actions réalisées en 2018 pour assurer la coordination du dispositif français de surveillance de la qualité de l'air selon les quatre principales orientations du contrat d'objectif : Assurer la qualité des données de l’observatoire et les adéquations avec les exigences européennes et les besoins de surveillance Assurer la centralisation au niveau national, l’exploitation et la mise à disposition des données produites par le dispositif de surveillance Améliorer les connaissances scientifiques et techniques du dispositif pour accompagner la mise en œuvre des plans d’action et anticiper les enjeux futurs du dispositif Assurer la coordination, l’animation et le suivi du dispositif national de surveillance Le rapport s'achève sur la présentation de l'organisation du LCSQA ainsi que des principaux chiffres clés, des indicateurs et jalons prioritaires. Parmi les principaux sujets traités par le LCSQA en 2018, on peut retenir : des travaux sur les micro-capteurs réalisés avec notamment l’organisation du premier essai national d’aptitude sur le terrain de micro-capteurs pour la mesure de gaz et de particules dans l’air ambiant. L’avancement des travaux a ensuite été présenté en fin d’année lors d’un séminaire réunissant les membres du dispositif mais également des intervenant extérieurs comme par exemple le Joint Research Centre (JRC) de la Commission Européenne et des acteurs nationaux de la santé. Un dossier technique est consacré aux travaux du LCSQA sur la thématique micro-capteurs. Télécharger le dossier technique "les micro-capteurs". Une campagne nationale de mesure des résidus de pesticides dans l'air, lancée en juin, sous la coordination du LCSQA, en collaboration avec l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), et le réseau des AASQA fédéré par Atmo France. L’organisation d’un séminaire réunissant les membres du dispositif national de surveillance mais également l’Anses afin de préparer collectivement la contribution française au processus de révision des directives européennes sur la qualité de l’air souhaité par la Commission. Un important travail a démarré en 2018 sous la coordination du LCSQA et en collaboration avec les AASQA, concernant la prévision de la qualité de l’air et notamment les processus de contrôle qualité et assurance qualité à harmoniser et à mettre en œuvre collectivement. Ces travaux aboutiront à la définition d’un référentiel national pour la mise en œuvre de la modélisation et de la prévision de la qualité de l’air. En 2018 le LCSQA est devenu l’organisme de référence technique pour le Gouvernement de la Nouvelle Calédonie avec lequel les trois membres du LCSQA ont signé une convention de collaboration sur la période 2018-2022 renouvelable. Les travaux du LCSQA réalisés en 2018 ont été financés par la Direction Générale de l'Énergie et du Climat (bureau de la qualité de l’air) du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire (MTES) mais ont également bénéficié d’un financement de la part de l’Agence française pour la biodiversité dans le cadre du Plan Ecophyto 2018 et de l'Anses dans le cadre du dispositif de phytopharmacovigilance (PPV) sur les travaux concernant les pesticides.  
Actualité
Publication des résultats de la campagne exploratoire nationale de mesure des résidus de pesticides dans l'air ambiant
 
Mercredi 23 juillet 2014
Rapport
Rapport préparatoire au guide méthodologique pour la surveillance des PM10 et PM2.5 par jauge radiométrique dans l’air ambiant
L’absorption de rayonnement bêta et la mesure par variation de fréquence constituent à ce jour les 2 techniques usuelles en AASQA pour la mesure automatique de la concentration massique des particules en suspension dans l’air ambiant. Ceci est la conséquence de la démonstration d’équivalence obtenue en 2006, confirmée en 2008, 2010 et 2011 par les exercices d’intercomparaison sur site menés par le LCSQA. Concernant les jauges radiométriques Bêta, le système centralisé de gestion administrative des sources radioactives mis en place depuis 2010 a facilité les démarches administratives pour les AASQA. Compte tenu du redéploiement technique en vue de respecter l’échéance de 2013 fixée par la Directive 2008/50/CE sur la conformité des techniques de mesure, des AASQA ont adopté cette technique ou envisagent de le faire. Ce rapport est une version provisoire (soumise à validation de la CS « Mesures automatiques » et du CPS) du guide technique de recommandations concernant la mesure des particules PM10 et PM2.5 dans l’air ambiant par l’utilisation d’une jauge radiométrique par atténuation de rayonnement bêta. Les jauges radiométriques homologuées actuellement sur le sol français pour la surveillance réglementaire des particules dans l’air ambiant sont : - La BAM 1020 de Met One Instruments, Inc ; - La MP101M d’Environnement SA. Ce guide doit fournir une aide aux utilisateurs en leurs fournissant une première liste de procédures à mettre en oeuvre ainsi qu’un échéancier à respecter pour permettre le bon fonctionnement de l'outil en routine. Il a été rédigé sur la base des documents et échanges avec les constructeurs et/ou distributeurs français ainsi qu’à partir du retour d’expérience du personnel des AASQA (journées techniques des AASQA, journées utilisateurs, etc.). Il comprend pour chacun des appareils des éléments permettant d’effectuer une installation sur site conforme aux recommandations des constructeurs, de mettre en place les procédures de maintenances et de vérifications périodiques nécessaires au bon fonctionnement et de réaliser les contrôles QA/QC en adéquation avec la spécification technique XP CEN/TS 16450 « Air ambiant - Systèmes automatisés de mesurage de la concentration de matière particulaire (PM10, PM2,5) » de Juillet 2013 (2ème édition); . Par ailleurs il comprend en dernier lieu, une partie relative au rendu des résultats (validation et agrégation des données, calcul des incertitudes).
Actualité
Accréditation COFRAC pour la mesure des PM dans l’air ambiant
Dans le cadre de ses missions pour le LCSQA, l’INERIS a obtenu en date du 17/07/2017, l’accréditation (1) pour le prélèvement et l’analyse des concentrations de particules PM2.5 et PM10 dans l’air ambiant (2) selon le référentiel NF EN ISO/CEI 17025 – exigences générales concernant la compétence des laboratoires d’étalonnages et d’essais.