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2321 résultats correspondent à PM10
Vendredi 13 mai 2016
Rapport
Essais d’adéquation du FIDAS 200 à la mesure réglementaire en France – Bilan des essais 2013-2015
La note "Essais d’adéquation du FIDAS 200 à la mesure réglementaire en France – Bilan des essais 2013-2015" rend compte des résultats d'essais pour les mesures de PM10 et PM2,5, obtenus suite aux campagnes de mesure réalisées de 2013 à 2015 en collaboration avec différentes associations agrées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) : AIR PACA, AIRPARIF,ASPA,ATMO AUVERGNE, ATMO CHAMPAGNE-ARDENNEet QUALITAIR CORSE. Ces essais ont consisté à évaluer la cohérence des mesures FIDAS vis-à-vis de la méthode de référence décrite dans la norme NF EN 12341 (Air ambiant - Systèmes automatisés de mesurage de la concentration de matière particulaire (PM10; PM2,5)), en cohérence, lorsque cela était possible, avec les préconisations de la norme prEN16450 (Air ambiant - Méthode normalisée de mesurage gravimétrique pour la détermination de la concentration massique MP10 ou MP2,5 de matière particulaire en suspension). Les résultats ont montré un bon accord des mesures du FIDAS 200 avec celles obtenues par la méthode de référence sur les sites de fond urbain. Sur ce type de site, les performances du FIDAS évaluées dans ce travail sont tout à fait similaires à celles obtenues pour les autres systèmes de mesure automatiques (AMS) actuellement homologués. Sur les sites trafic, les résultats n’ont pas été satisfaisants. Suite à cette observation, le constructeur a proposé une évolution de l’algorithme de traitement des données spécifiquement dédié à la mesure sur site trafic. Les résultats préliminaires ont montré une amélioration des résultats pour la fraction PM10 mais avec un biais toujours important pour la fraction PM2,5. En l’état, l’utilisation d’un FIDAS sur site trafic nécessiterait l’utilisation d’une fonction de correction qui devrait être propre à chaque site et déterminée à l’aide de mesures gravimétriques.L’ensemble de ces résultats ne sont pas définitifs et les essais seront poursuivis au cours de l’année 2016.
Mardi 3 février 2009
Rapport
Bilan de la 1ère année de mesure des PM10 ajustées en France & évaluation des outils de modélisation
Jeudi 17 mars 2016
Rapport
Suivi et optimisation de l'utilisation des TEOM-FDMS : Guide de dépannage
Le LCSQA-INERIS a rédigé ce guide afin de fournir une aide aux utilisateurs des TEOM-FDMS dans les AASQA. Il a principalement été rédigé à partir des retours d'expérience de chacune des AASQA lors de réunions techniques. Il est rappelé l’importance de suivre les préconisations de la dernière version en vigueur du guide d’utilisation des TEOM-FDMS « Guide méthodologique pour la surveillance des PM10 et PM2,5 par TEOM-FDMS dans l’air ambiant » disponible sur le site du LCSQA, www.lcsqa.org. (rubrique Guides méthodologiques). L’utilisation conjointe des deux guides doit permettre l’identification et résolution des problèmes rencontrés lors de l’utilisation des TEOM-FDMS.
Lundi 3 février 2014
Rapport
Classification des stations selon l’environnement de mesure et les données d’émissions
La révision du guide sur la classification et l’implantation des stations et lesréflexions actuelles sur le réseau de mesure, avec le développement d’une surveillance combinant adéquatement la mesure et la modélisation, nécessitent uneconnaissance fine des sites de mesure opérationnels en France. La classification des stations de mesure constitue également un sujet d’investigation au niveaueuropéen, abordé dans le cadre du réseau AQUILA (JRC) et du forum FAIRMODE.Dans ce contexte, l’objectif de cette étude est de développer une sousclassification des stations plus détaillée, complémentaire de la typologie usuelleCette étude de classification consiste à caractériser chaque station par un ensemble de paramètres relatifs aux relations entre polluants (rapport NO/NO2 ouPM10/NO2) et à l’environnement de mesure (population, occupation du sol,topographie…), grâce à une analyse en composantes principales dont les résultatssont présentés en première partie. Ceux-ci montrent que la typologie de fond ruralpeut être divisée en deux groupes, ou « clusters », selon l’influence de l’altitude ou de l’agriculture. Les stations situées dans des environnements urbanisés sont, quantà elles, réparties dans deux autres groupes, dont l’un se distingue par une plusgrande proportion de sites de proximité routière et l’autre, une plus grande part de sites périurbains.Parallèlement à cette étude, un travail similaire a été conduit en 2012 dans uncontexte européen afin de compléter la description des stations de mesuredisponible dans la base AirBase. Fondée sur l’étude de Joly et Peuch (2012), une classification propre à chaque polluant (NO2, O3, PM10) a été établie en fonction ducomportement temporel des données de concentration, permettant de qualifier les stations d’une manière objective et comparable sur toute l’Europe. La deuxièmepartie de ce rapport compare les classifications obtenues pour les stations françaisesselon cette approche à la classification issue de l’analyse en composantesprincipales. Les résultats sont cohérents et les deux méthodologies de classification se justifient mutuellement. Les variables d’environnement et les paramètres relatifs aux relations entrepolluants n’ont pas permis de caractériser finement les stations situées en milieuurbanisé ; une seconde analyse en composantes principales a donc été réalisée surces stations en incluant des données d’émissions. Cette analyse, dont les résultatssont présentés en troisième partie, permet de distinguer trois nouveaux groupes de stations : celles qui sont influencées par le trafic routier, celles qui appartiennent à unenvironnement très urbanisé mais sont peu influencées par le trafic et des stationssituées dans un environnement urbanisé mais influencées par des émissionsparticulaires d’origine agricole.Cette étude fournit ainsi une classification supplémentaire des stations demesure composée de cinq classes, chacune associée à un type de milieu etd’influence.
Lundi 22 juin 2015
Rapport
Programme CARA : bilan des travaux 2013
Le présent rapport recense les principaux résultats obtenus en 2013 dans le cadre du programme CARA du dispositif national de surveillance de la qualité de l’air.   Après une description du contexte de ce programme, les différentes actions du Programme 2013 sont reprises une à une. Ce bilan accompagne différents rapports et notes disponibles sur le site web du LCSQA (www.lcsqa.org/rapports).   Trois principaux épisodes de pollution particulaire ont pu être étudiés en 2013. Les deux premiers ont eu lieu au cours du mois de mars. Ils sont à relier majoritairement à une forte augmentation des espèces inorganiques secondaires (nitrate d’ammonium mais aussi sulfate d’ammonium). Le troisième a été observé entre le 8 et le 15 décembre 2013, et était fortement impacté par la présence de matière organique Ces résultats confirment le rôle majeur joué par l’accumulation des émissions anthropiques (en particulier la combustion de biomasse) lors de phénomènes d’inversion thermique prononcée en début et milieu d’hiver, ainsi que la formation d’aérosols secondaires (en particulier de nitrate d’ammonium) lors d’épisodes photochimiques de large échelle en fin d’hiver et début de printemps.   La comparaison des sorties de modèle (CHIMERE dans le cadre de Prev’Air) aux mesures chimiques sur filtres et en temps réel (MARGA) lors de l’épisode de fin mars 2013 indiquent une assez bonne modélisation des espèces inorganiques secondaires en moyenne journalières mais des cycles journaliers parfois mal reproduits. La prévision des concentrations de matière organique semble demeurer le principal point d’amélioration des travaux de modélisation, avec des simulations moyennes de 2 à 10 fois inférieures aux observations, en raison de la difficulté de paramétrisation des phénomènes de formation des aérosols organiques secondaires ainsi qu’à la nécessité d’une meilleure prise en compte des sources riches en composés organiques semi-volatiles (typiquement, chauffage au bois).   Les études de sources ayant pu être réalisées en 2013, notamment par application de la Positive Matrix Factorization aux mesures sur filtres, confirment les points suivant : - parmi les sources locales, la combustion de biomasse est celle qui influence le plus les niveaux de PM10 ; - la contribution directe des émissions primaires du transport routier (échappement, pneus, freins) est relativement stable (de l’ordre de 10-15%) au cours de l’année ; - les aérosols secondaires peuvent représenter jusqu’à 70% des PM10 lors des épisodes printaniers ; - en aucun cas, les aérosols naturels ainsi que le salage des routes ne peuvent être considérés comme responsables des dépassements du seuil journalier de 50μg/m3 sur les sites étudiés.   Enfin, les résultats (satisfaisants) obtenus lors de l’exploitation d’une comparaison inter-laboratoire européenne pour la mesure de traceurs organiques de combustion de biomasse ainsi que les activités de support aux AASQA et d’animation d’un nouveau groupe de travail sont également présentées ici.
Lundi 29 octobre 2007
Rapport
Distribution de l’exposition de la population urbaine aux PM10 et PM2.5
Mercredi 12 février 2014
Rapport
Analyse statistique des données de PM2.5 à l’échelle nationale
Le présent rapport dresse un bilan des mesures de PM2.5 réalisées de 2007 à 2011. Il constitue la mise à jour d’un précédent travail qui portait sur les années 2003 à 2005. Cette étude bénéficie d’un plus grand nombre de stations (114 sites de mesure des PM2.5 en 2011 contre 54 en 2005). A la différence de l’étude précédente, lesdonnées disponibles, mesurées par TEOM-FDMS, tiennent compte de la fraction semi-volatile des particules.Plusieurs aspects de la pollution liée aux PM2.5 sont examinés : la variabilité spatiale des concentrations, leur évolution moyenne au cours des années, les relations entre les concentrations de PM2.5 et les concentrations de PM10. Si la valeur limite de 25 μg/m3 fixée pour 2015 est presque partout respectée (font exception quelques stations de proximité automobile), des niveaux relativementélevés - supérieurs à la valeur cible de 20 μg/m3 - sont mesurés dans la moitié est de la France, principalement en Rhône-Alpes et dans le Nord-Pas-de-Calais. Encomplément des statistiques annuelles par station, des cartographies des concentrations moyennes annuelles de PM2.5 ont été élaborées par krigeage, encombinant les données mesurées sur les stations de fond et les simulations issues de CHIMERE. Le nombre de stations disponibles pour le krigeage permet d’assurerune qualité de cartographie satisfaisante, notamment en 2011. En moyenne sur la France, la concentration moyenne annuelle de PM2.5 est plusélevée sur les stations de proximité routière et plus faible sur les stations rurales.Localement, ces différences sont moins nettes. En comparaison de mesuresurbaines voisines (distantes de moins de 5 km), un surplus de concentration modérémais significatif est observé sur les stations de proximité. En revanche, lacomparaison de données urbaines et rurales issues de sites proches (distants demoins de 50 km) ne fait pas ressortir de signal urbain. Le petit nombre de stationspermettant une telle comparaison limite toutefois l’analyse. D’un point de vue temporel, aucune tendance significative sur la période 2007-2011 n’est mise en évidence à l’échelle de la France, et cela, quelle que soit la typologie de station. Le rapport moyen annuel PM2.5/PM10, qui est d’environ 70%, ne présente pas non plus d’évolution sensible sur cette période alors qu’en fonction du lieu et de la saison, il révèle une certaine variabilité.
Vendredi 2 mars 2018
Procédure préfectorale
Procédure du 02/03/2018 - HAUTE-SAVOIE - Information & Recommandation
Lundi 26 février 2018
Procédure préfectorale
Procédure du 26/02/2018 - TARN - Information & Recommandation
Dimanche 25 février 2018
Procédure préfectorale
Procédure du 25/02/2018 - HAUTE-GARONNE - Alerte